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Pour créer sa vie, on a besoin de liquides...

Photo du rédacteur: Jean-Baptiste SouartJean-Baptiste Souart
Dans ses conférences et ses livres, Bruno Clavier - psychanalyste transgénérationnel - nous répète souvent qu'il est PRIMORDIAL d'éduquer sexuellement les enfants en :

  • nommant depuis leur naissance leur partie du corps par le parent de même sexe qui, ainsi, transmet la fierté et la connaissance de son sexe

  • répondant sans tabou aux questions posées, encore une fois en privilégiant la transmission par le parent de même sexe.

  • ayant répondu aux questions et expliqué clairement comment on faisait les bébés et l'acte sexuel (de façon adaptée, revue spécialisées a l’appuie par exemple) "avant la fin de la période œdipienne, environ sept ans"*

  • faisant particulièrement attention à l'éducation de la fille par sa mère sur son sexe qui est un sexe en grande partie intérieur, le risque sinon - comme il le précise - étant que "la petite fille risque d'avoir toujours envie de ce que possède l'autre, en l'occurrence, le pénis extérieur masculin si valoriser sexuellement et socialement"*. Ce n'est pas parce qu’on ne le voit pas qu'il n'y en a pas !

  • précisant bien les LIQUIDES en jeu dans la sexualité procréative

Il y a donc un double enjeu pour le futur adulte et principalement pour la future femme (par rapport à cette aspect du sexe intérieur) : se construire avec la connaissance de son sexe, transmise par sa mère ou par une femme car encore aujourd'hui, trop de femmes se construisent dans l'absence de leur sexe. Les informations arrivent alors par les copines et les transmissions scolaires qui se déposent sur des fondations lacunaires et fragile ne facilitant pas le futur plaisir qu'elles vont pouvoir ressentir, ni la bonne utilisation de ce sexe. c'est la même chose pour le garçon et le père. l'autre aspect est d'avoir eu connaissance des liquides en jeu. si les liquides n'existe pas dans le processus de création, comment voulez-vous créer l'abondance des liquidités dans la vie future ? Car même si l'argent ne fait pas le bonheur en soi, il est quand même un élément clé pour fluidifier la créativité dans nos vies. Combien de personnes font un travail alimentaire plutôt qu'un travail qui les alimente (psychiquement, qui rleur pporte de la joie, qui les font grandir, qui participent à leur évolution,...).

*𝑒𝑥𝑡𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑒 "𝐿𝑒𝑠 𝑓𝑎𝑛𝑡𝑜̂𝑚𝑒𝑠 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑖𝑎𝑢𝑥" 𝐵𝑟𝑢𝑛𝑜 𝐶𝐿𝐴𝑉𝐼𝐸𝑅.

Des blocage avec l'argent (les liquidités) peuvent également s'expliquer avec des carences dans la transmission de ce qu'est le processus créatif initial dans la vie qui a besoin des liquides, non, ce n'est pas sale ! 😉
Je vous propose ce type de phrase qui peut tout à fait être réécrit à votre façon :
"À partir d'aujourd'hui, j'ai conscience que les liquides participe mnt largement au processus créatif de la vie, de ma vie et dans ma vie, j'accueille donc les liquides pour qu'ils puissent prendre toute leur place dans mon système, et je me libère de toute considération négative ou restrictive à leur sujet. Je m'ouvre à l'abondance et au processus créatif qui va me permettre de m'épanouir dans ma vie.
(si possible, prononcer cette phrase, à voix haute devant un petit autel pour honorer les liquides précieux, bien entendu, on parle de symbole, en mettant par exemple des billets, des pièces, des bijoux doré, du vin, de qualité dans un beau verre, de l'eau bénite par vous-même, une petite graine que vous arrosez, et que vous regarderez pousser , etc.).
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